Quand on s'en va sous d'autres cieux
C'est pour vivre des jours meilleurs…
Et bien qu'ici je fus heureux,
Je le serai autant ailleurs.
J'ai bien rangé tous mes délires
Chez mon ami l'ordinateur.
Ainsi je pourrai les relire
Sans les pubs d'un hébergeur.
Fini les rimes sur la toile
Sur laquelle j'aimais m'épancher…
Désormais c'est sur mon étoile,
A moi, que je vais me cacher.